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📅 Arpentage le 23 novembre 2022 de 18h30 à 22h autour du livre Gouverner par l’emploi, une histoire de l’école 42.
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Pfou ! Quelle semaine ! Décade ? Mois ? On ne sait plus. Nous revenons de 5 jours de festival pour les Utopiales à Nantes, suivis de 4 jours dans le Vexin à l'invitation du collectif d'éducation populaire Diffraction, avec une quarantaine d'autres facilitateur⋅ices. Nous avions prévu de vous faire un compte-rendu un peu détaillé de ce dernier rendez-vous, mais nous sommes épuisé⋅es, alors ce sera pour la prochaine lettre, quand on aura eu le temps de revenir à tête reposée sur les multiples échanges que nous avons eu.
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Nous avons tout de même quelques petites choses à vous partager de nos actualités, alors c'est parti !
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Prochain arpentage
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La formation doit-elle être mise au service de l’emploi ? L’accès à l’emploi doit-il être le grand organisateur de notre vie sociale ? C’est à ces questions que répond cette enquête, menée en immersion dans une école qui se présente volontiers comme révolutionnaire, l’école 42. Chemin faisant, on comprend que cette création modèle est moins l’innovation pédagogique qu’elle prétend incarner, qu’une institution à la frontière entre formation et emploi, qui concentre les tendances à l’œuvre dans ces deux champs. S’engager corps et âme dans sa formation, subordonner les savoirs et les savoir-faire aux nécessités du marché, accepter de travailler gratuitement dans l’espoir d’améliorer son cv, apprendre à obéir et à travailler sans compter forment les différentes dimensions d’un unique objectif : se conformer à un gouvernement par l’emploi. Gouverner par l’emploi, c’est considérer que l’emploi est un totem, que c’est l’objet autour duquel et pour lequel la société doit s’organiser. Gouvernants et gouvernés s’inscrivent alors dans une conception néolibérale du monde où l’État se met au service du marché, où les individus consentent à revenir sur leurs droits dans l’espoir d’obtenir un emploi et avec lui, une place dans la société.
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Rendez-vous à 18h30 pour un tour de présentation et la répartition des extraits du livre (que nous fournissons). On se retrouvera ensuite à 20h30 pour échanger autour de ce que nous avons lu. L'atelier se termine à 22h.
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Contribution à une thèse en cours
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Lors des Utopiales, nous avons rencontré Margot Châtelet qui réalise une thèse étudiant d’autres œuvres d’Alain Damasio. Nous avons donc saisi l’occasion pour travailler ensemble en adaptant notre dispositif d’analyse automatisé à La Horde du Contrevent.
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Il reste une vérification systématique à faire vis-à-vis du texte original, ainsi que quelques soucis graphiques, mais on est déjà content·es du résultat de ces quelques heures de travail.
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Un labo-fiction pour 86 participant⋅es
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En plus de notre intérêt général pour les œuvres de l’imaginaire, nous étions aux Utopiales en tant que co-animateur⋅ices d'un atelier géant d'imaginaire sur les futurs désirables, organisé par les Ateliers de l'antemonde. Celui-ci a rassemblé 86 participant⋅es pour 7 co-animateur⋅ices, pendant 4 heures. Nous avons passé un excellent moment !
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Si vous êtes curieux⋅ses de ce que produisent ces ateliers, le collectif a partagé son analyse après un an de tournée et une centaine de rencontres, dans le texte Manufacture des utopies, publié en mai 2020.
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10 ans de l'Engrenage
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Mélissa est allée faire un tour à l'anniversaire de la Scop d'éducation populaire l'Engrenage, à Tours. La réappropriation de l'espace public avec sérigraphie, porteur⋅ses de parole, fabrication de briques en terre crue, espace de gratuité… a été une grande respiration dans la course automnale. Surtout, on a bien rigolé !
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On vous souhaite tout le repos du monde 🌙
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Lunar et Mélissa La Dérivation
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